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Interview d’Adrien, ingénieur système chez TRSb, notre partenaire
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[ 29/06/2021 ]

Interview d’Adrien, ingénieur système chez TRSb, notre partenaire

Aujourd’hui, focus sur un projet réalisé main dans la main avec le groupe TRSb.

 Le Groupe TRSb est une Entreprise de Services du Numérique. Multi-spécialiste et forte de ses plus de 20 ans d’expérience, elle répond à de nombreuses problématiques pour ses clients et notamment la prestation au sein de l’Agence nationale de santé et du médicament et des produits de santé (ANSM).

Et pour en parler, qui de mieux qu’Adrien, un des Ingénieurs Système chez TRSb, qui travaille sur le projet depuis maintenant plus d’un an. 

Bonjour Adrien, peux-tu te présenter ?

J’ai un parcours très classique avec une formation en école d’ingénieurs, 2 ans de classes préparatoires, 3 ans de spécialité en ingénierie informatique. Il s’agit de ma première mission avec TRSb et je suis ravi d’avoir rejoint le Groupe TRSb. Je me reconnais dans ses valeurs de travail et d’exigence.

Je suis ingénieur système et j’ai une double casquette en tant que team leader. Je gère une équipe de plusieurs personnes. Mon rôle est de coordonner les tâches quotidiennes chez le client, ici, l’ANSM. Je m’occupe du suivi des projets, des actions en cours… Je m’occupe aussi de faire des rapports de suivi au client.  

Je gère également les points de production avec le client. Ces points de production sont destinés à échanger sur les difficultés que l’on rencontre sur le projet en cours, les projets d’amélioration que nous pourrions lancer, la revue des actions en cours et la planification des prochaines.

Je me plais et m’épanouis beaucoup sur cette mission. C’est un gros challenge car il y a beaucoup à faire et le contexte actuel n’a pas facilité notre travail mais c’est particulièrement motivant.

Quel est le rôle de TRSb au sein de l’ANSM ?

L’ANSM est une organisation publique qui permet l’accès aux produits de santé et s’assure de leur sécurité en France.

TRSb s’occupe au sein de l’ANSM de ce qu’on appelle le « Run ». Cela comprend tout ce qui est exploitation et maintien en condition opérationnelle du système informatique. Une grosse partie de ce travail est notamment dédiée à l’outil de messagerie qu’il est primordial de garder en état de marche (d’autant plus quand les équipes sont éloignées). On s’occupe également du traitement des incidents et des demandes (métier ou utilisateur) grâce à un outil de « ticketing ». Habituellement, nos équipes sont donc sur place pour pouvoir répondre au mieux aux sollicitations.

Une des bases des solutions apportées par TRSb est l’amélioration continue. Nous sommes donc aussi là pour proposer de nouvelles solutions et outils en fonction du contexte client. Nous sommes notamment en train de mettre en place un outil de supervision pour surveiller toute l’infrastructure de l’organisation et ainsi gagner en efficacité.

Une partie très importante de notre mission est également de gérer la sauvegarde des données.

En quoi consiste ton travail au sein de l’ANSM ?

Parmi mes tâches récurrentes, il y a évidemment la résolution des incidents et le traitement des demandes. Chez les grandes organisations comme l’ANSM, il y a toujours un flux d’interventions à réaliser, que cela soit sur l’infrastructure ou concernant les soucis éventuels des usagers.

Il est également très important de prendre du temps pour renseigner et créer la documentation sur les procédures à appliquer pour la résolution d’incidents. En effet, l’infrastructure actuelle a été mise en place il y a longtemps avant qu’il n’y ait vraiment de normes. Il a donc fallu un moment d’adaptation à nos équipes avant d’être complètement opérationnelles. Et c’est la raison pour laquelle le Knowledge Management (gestion de connaissances) et la documentation sont si importants dans l’informatique.

Quels sont les défis qui ont émergé avec la crise sanitaire et comment TRSb à su répondre à ces nouveaux challenges ?

Bien sûr, l'ANSM a été impactée par le contexte sanitaire récent.

Avec le télétravail généralisé pour les salarié·e·s, il nous a fallu renforcer la surveillance de toute la partie VNP (Virtual Private Network, Réseau Privé Virtuel) afin que tout le monde puisse travailler en toute sécurité. En effet, le risque de fuites de données est toujours plus grand quand on travaille à distance.  

Il a également fallu être très vigilant sur l’outil de messagerie : avec la distance, les collaborateurs et collaboratrices ne disposaient que de ce moyen pour communiquer. Globalement, tous les outils de travail ont bénéficié d’une surveillance accrue pour éviter tout dysfonctionnement.

Cela n’a pas empêché l’intensification des sollicitations car comme dans beaucoup d’entreprises et d’organisations, le télétravail était complètement nouveau pour de nombreux salarié·e·s. Cela a fait émerger des problèmes inédits notamment au moment de la mise en place.

L’intensification est allée de pair avec le passage au télétravail pour notre équipe également. Nous avons organisé les rotations pour qu’une personne au minimum reste présente sur site pour pouvoir relancer les serveurs, gérer les problèmes sur place si besoin.

La mise en place s’est néanmoins faite naturellement et rapidement et nous avons su conserver notre qualité de service malgré l’éloignement des équipes.

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