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Inop’s by Freelance.com : Et si la monnaie-for-good venait de l’espace ?
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[ 05/07/2021 ]

Inop’s by Freelance.com : Et si la monnaie-for-good venait de l’espace ?

Focus sur ON-X, cabinet de conseil français indépendant, spécialisé dans le conseil et l’intégration du numérique dans les entreprises, les administrations et les collectivités. ON-X bénéficie de 30 ans d’expérience pour répondre à ces nouveaux enjeux, organisés en 5 pôles, ils vous accompagnent successivement à définir votre stratégie, à passer les grandes étapes d’aide à la décision puis à conduire vos projets de mise en œuvre. Leur mission est de vous faciliter l’accès au monde numérique d’aujourd’hui et de demain en agissant comme un catalyseur agile pour la définition et la mise en œuvre de vos projets de transformation numérique.

LA CRYPTO MONNAIE DE L’ESPACE :

ON-X est l’un des meilleurs experts français de la blockchain et a eu l’idée un peu folle de créer une cryptomonnaie de l’espace.

Celle-ci servirait à faire financer les projets d’éco-gestion de l’espace par les pollueurs. Avec le CNES et soutenu par l’autorité de régulation française de l’espace, cette idée de cryptomonnaie écologique pourrait bien s’imposer à l’ensemble de l’industrie spatiale sous l’égide de la DIACS, l’agence internationale gérant la pollution de l’espace. Et pourquoi pas dans un deuxième temps être dupliquée sur terre.

LES OBJETS SPATIAUX :

Difficile à croire quand on regarde un ciel étoilé par une nuit d’été sans nuage, mais l’espace est en réalité un territoire assez encombré. On compte aujourd’hui des milliers de satellites dont certains sont déjà hors d’usage, non recyclables, près de 40 000 objets spatiaux de plus de 10 cm, mais surtout 130 millions d’objets de moins de 1 cm qui présentent autant de risques de collision… Or l’espace va être de plus en plus occupé : constellations privées de milliers de satellites (Facebook, Amazon, SpaceX…), impression 3D, stations de refueling, nanosatellites, transport de voyageurs, exploitation minière extraterrestre, transport de ressources…

Il y a urgence à agir pour que le ciel ne devienne pas le plus sale endroit de la Terre, pour parodier un slogan publicitaire bien connu. Et surtout pour qu’il soit un lieu sûr pour l’ensemble des équipements. Il y a d’autant plus urgence à agir que l’espace utilisable, comme la Terre, est un territoire fini : la ressource orbitale est en voie de raréfaction. Une politique de gestion durable de cet espace limité et des orbites s’impose donc.

LA BONNE NOUVELLE ...

L’ensemble des acteurs de l’industrie spatiale est conscient de la nécessité de réguler. Leur intérêt est de pouvoir continuer à installer dans l’espace des équipements qui vont accompagner le développement des usages sur l’ensemble des territoires de la planète.

Ils ont besoin d’une gouvernance mondiale : l’espace ne connaît pas les frontières, et les géants de la tech de toutes les grandes puissances industrielles sont en concurrence pour le coloniser.

Ils ont besoin de règles qui s’imposent à tous. Ils commencent aussi à prendre conscience que cette occupation de l’espace doit être durable, Les Google, Amazon, Space X et avec eux Elon Musk, Jeff Bezos, Sundar Pichai ne peuvent se permettre d’avoir une image de pollueur de l’espace.

Mais plus profondément, chacun réalise désormais que cet espace est limité, et que les arbitrages pour savoir si un projet spatial est viable et utile doivent désormais se faire à l’aune de cette gestion durable. Demain, on ne pourra plus juger un projet spatial uniquement au prisme de son ROI, de son risque technologique ou de la souveraineté qu’il va procurer.

Ce contexte est d’autant plus porteur pour mettre en place de bonnes pratiques que le nombre d’acteurs est relativement limité.

Quelle solution mettre en œuvre qui puisse mettre d’accord des entreprises américaines, européennes, indiennes, chinoises, coréennes, japonaises… ? Et comment éviter le recours à des technologies américaines qui de facto donnerait aux américains un pouvoir de contrôle sur un outil de gouvernance mondial ?

Pour découvrir la solution proposée par ON-X, nous vous invitons à télécharger le 1er Yearbook des change makers.

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